Les autorités algériennes ont été
critiquées au sujet du traitement et des conditions d’accueils réservés à ces
populations en détresse.
La ministre de la Solidarité, Mounia
Meslem Si Amer, a annoncé ce mardi à Blida le lancement d’ « une action de
solidarité » menée conjointement avec le
ministère de l'Intérieur et celui de la Santé « pour la prise en charge des migrants issus du Mali et
du Niger ».
Elle a affirmé que des « instructions ont été données à l'ensemble des walis pour consacrer, impérativement des espaces, au niveau de leurs circonscriptions respectives pour la prise en charge de ces migrants ». L’inconvénient dans cette opération, a-t-elle dit, est lié au « refus de ces migrants de se regrouper sur un seul site ». L'opération de solidarité devra profiter à des « milliers de personnes déplacées issues des Etats du Sahel », a ajouté Mme Meslem, cité par APS.
Elle a affirmé que des « instructions ont été données à l'ensemble des walis pour consacrer, impérativement des espaces, au niveau de leurs circonscriptions respectives pour la prise en charge de ces migrants ». L’inconvénient dans cette opération, a-t-elle dit, est lié au « refus de ces migrants de se regrouper sur un seul site ». L'opération de solidarité devra profiter à des « milliers de personnes déplacées issues des Etats du Sahel », a ajouté Mme Meslem, cité par APS.