« Le sort des tunisiens ayant émigré clandestinement vers l’Italie au lendemain de la révolution reste à ce jour inconnu », a souligné, jeudi, Abderrahman Hedhili, président du forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES).
Il a ajouté, lors d’une rencontre avec la presse tenue à Tunis sur le dossier des migrants disparus, que depuis trois ans, aucune information n’est parvenue aux familles des disparus sur le destin de leurs enfants que ce soit de la part des gouvernements tunisiens qui se sont succédé ou de celle du gouvernement italien.