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Le Maroc a été confronté
ces derniers mois à un afflux de migrants. Devenu un pays de destination et non
plus un pays de transit, et grâce à sa nouvelle politique, visant entre autres
à régulariser quelques 30.000 clandestins, le Royaume est appelé à scolariser
“plusieurs milliers” d'enfants subsahariens, contre seulement “quelques
dizaines” actuellement, estiment les ONGs.
Rabat a annoncé en septembre dernier une nouvelle politique en la matière qualifiée d'“humaniste”, qui comprend notamment un programme de régularisation parmi les 30.000 clandestins, essentiellement d'origine subsaharienne, qui se trouveraient sur son sol. Le mois suivant, le ministère de l'Education a émis une circulaire visant à “l'intégration des élèves étrangers issus des pays du Sahel et subsahariens dans le système scolaire marocain”.
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Lire le rapport "Les enfants migrants et l'école maroccaine" par Gadem, france Volontaires, Oum el Banine, Tierra des Hombres
Rabat a annoncé en septembre dernier une nouvelle politique en la matière qualifiée d'“humaniste”, qui comprend notamment un programme de régularisation parmi les 30.000 clandestins, essentiellement d'origine subsaharienne, qui se trouveraient sur son sol. Le mois suivant, le ministère de l'Education a émis une circulaire visant à “l'intégration des élèves étrangers issus des pays du Sahel et subsahariens dans le système scolaire marocain”.
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Intitulé “Les
enfants migrants et l'école marocaine”, son rapport, fruit de trois ans de
travaux menés par diverses ONG avec le soutien de l'Union européenne, constitue
“un état des lieux”, ainsi qu'un “plaidoyer” et “un outil pour l'Etat et la
société civile”, a-t-elle avancé à l'occasion de sa publication, en présence de
responsables ministériels.
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Lire le rapport "Les enfants migrants et l'école maroccaine" par Gadem, france Volontaires, Oum el Banine, Tierra des Hombres
