A la question de connaitre les obstacles auxquels cette régularisation pourrait être confrontée, Alioua pense que « pour l’instant, le problème principal est le manque de savoir faire du Maroc ». « Il y a tout à faire, il faut inverser une politique sécuritaire d'exclusion en une politique d'inclusion », explique-t-il.
« Les européens n’ont pas toujours fait les bons choix sur ces questions malgré leur niveau de développement ». Pour le président de l’organisation, « il ne pourra pas s’agir exactement du même type de politique d’intégration que celle des pays européens, ne serait-ce que parce que les questions des mobilités sont au centre des ces mouvements migratoires ».