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| [Picture from the same article - 28/02/2013 - Copyright Sereen Assir/IRIN] |
CAIRO, 28 February 2013 (IRIN) - Osman Sheshy*, a 26-year-old refugee from Eritrea living in the Egyptian capital, remembers fondly the day three months ago when a wealthy Egyptian man asked him to clean his villa for 50 Egyptian pounds (US$7.3).
He has not worked since, though not for want of trying: He spends his days knocking on the doors of houses, firms, factories and workshops to beg for work.
“I urgently need work to feed my family, but this work has become impossible to find here,” the father of two told IRIN. “We stick to buying the basics, but these basics become harder to get each day.”
The political turmoil and deep economic crisis in Egypt, which has been hit by a slump in tourism, low investment and rising food prices, is hurting the country’s most vulnerable communities.
He has not worked since, though not for want of trying: He spends his days knocking on the doors of houses, firms, factories and workshops to beg for work.
“I urgently need work to feed my family, but this work has become impossible to find here,” the father of two told IRIN. “We stick to buying the basics, but these basics become harder to get each day.”
The political turmoil and deep economic crisis in Egypt, which has been hit by a slump in tourism, low investment and rising food prices, is hurting the country’s most vulnerable communities.
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LE CAIRE, 4 mars 2013 (IRIN) - Osman Sheshy*, un réfugié érythréen de 26 ans installé dans la capitale égyptienne, se rappelle avec émotion du jour où, il y a trois mois, un riche Égyptien lui a offert 50 livres égyptiennes (7,3 dollars) pour faire le ménage dans sa villa.
Depuis, il n’a pas retrouvé de travail, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Il passe ses journées à taper aux portes des maisons, des entreprises, des usines et des ateliers à la recherche d’un emploi.
« Il faut que je travaille pour nourrir ma famille, mais il est devenu impossible de trouver un emploi ici », a dit à IRIN ce père de deux enfants. « Nous nous contentons d’acheter les aliments de base, mais c’est de plus en plus difficile ».
L’instabilité politique et la profonde crise économique en Égypte, qui a enregistré une baisse du tourisme et des investissements, ainsi qu’une augmentation des prix alimentaires, affectent les communautés les plus vulnérables.
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LE CAIRE, 4 mars 2013 (IRIN) - Osman Sheshy*, un réfugié érythréen de 26 ans installé dans la capitale égyptienne, se rappelle avec émotion du jour où, il y a trois mois, un riche Égyptien lui a offert 50 livres égyptiennes (7,3 dollars) pour faire le ménage dans sa villa.
Depuis, il n’a pas retrouvé de travail, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Il passe ses journées à taper aux portes des maisons, des entreprises, des usines et des ateliers à la recherche d’un emploi.
« Il faut que je travaille pour nourrir ma famille, mais il est devenu impossible de trouver un emploi ici », a dit à IRIN ce père de deux enfants. « Nous nous contentons d’acheter les aliments de base, mais c’est de plus en plus difficile ».
L’instabilité politique et la profonde crise économique en Égypte, qui a enregistré une baisse du tourisme et des investissements, ainsi qu’une augmentation des prix alimentaires, affectent les communautés les plus vulnérables.
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