En effet, à l’exception des environ 500 mille réfugiés palestiniens ayant un traitement particulier et considérés comme « citoyens », sans pour autant avoir le droit de vote, le nombre des migrants arabes en Syrie ne représentait pas durant les dernières décennies un chiffre significatif. Cependant, depuis les années 2000, avec l’arrivée en masse des réfugiés irakiens, la migration vers la Syrie prend une dimension alarmante et sa forme se caractérise par l’émergence d’une irrégularité méritant d’être analysée sous un nouvel angle.
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